Alors que la santé financière des journaux est lourdement affectée par les conséquences de la crise sanitaire, les journalistes pigistes, plus précaires que jamais, paient le prix fort, même si dans certaines rédactions, comme à L’Equipe ou à France Télévisions, des délégués syndicaux se sont battus pour intégrer les pigistes au décret sur le chômage partiel.
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«Non seulement on n’aura pas de boulot cet été, mais on en aura moins après: puisqu’on nous annonce un plan social, même les titulaires vont trinquer!»